Le neurofeedback est à la fois un apprentissage & un entrainement.
Et si on comparait avec le vélo ?
Pour apprendre à faire du vélo, il faut du temps, de la répétition, plusieurs séances donc. Mais une fois que l’on sait faire du vélo, c’est pour la vie !
Si on nous demande comment nous avons appris à faire du vélo, nous ne sommes pas capable de décrire l’enchaînement des différents apprentissages, les différentes étapes que nous avons franchies, avant de pouvoir dire : « Je sais faire du vélo. » C’est la même chose avec le neurofeedback.
Le neurofeedback est donc un apprentissage. C’est également un entrainement, une gymnastique, un « yoga du cerveau », comme se plaisent à dire les Étasuniens.
Par la pratique de l’exercice physique, nos corps développent force, souplesse, endurance, équilibre, efficacité, fluidité & habileté. Et nous gagnons en confiance.
De la même façon, l’entraînement par neurofeedback s’appuie & agit sur la neuroplasticité du cerveau pour la développer, la renforcer & l’assouplir.
Et… nous gagnons en confiance.
Concrètement, comment ça fonctionne ?
Des capteurs reliés à un ordinateur sont posés sur votre tête pour enregistrer votre activité cérébrale. Pendant que vous vous relaxez en écoutant de la musique, le logiciel analyse l’activité électrique de votre cerveau afin de détecter des variations soudaines. Lorsque c’est le cas, il fait une pause dans la musique, ce qui incite le cerveau à ramener son attention sur le moment présent. Il optimise ainsi son organisation naturellement & apprend, sans forçage, ni contrainte, à atteindre son fonctionnement le plus efficace, le plus confortable, avec des effets durables. À chaque séance, le cerveau progresse vers un équilibre plus harmonieux.
Dans quels cas est-ce conseillé ?
Dans de multiples troubles chez les adultes, comme chez les enfants & les personnes âgées : troubles du sommeil & de l’humeur, anxiété, migraines, dépression, fatigue chronique, dépendances & addictions, … Il peut aussi aider dans le rééquilibrage de la satiété. Dans le cas de trauma, il n’est pas nécessaire de se remémorer les situations dramatiques : le cerveau s’organise pour mieux fonctionner, sans verbalisation obligatoire. Pour les enfants, on peut citer le déficit d’attention, l’énurésie, le somnambulisme, les cauchemars & terreurs nocturnes, l’agitation permanente, l’impulsivité. Au point que, si NeurOptimal est toujours inconnu des instances de santé publique, plusieurs mutuelles le remboursent et de nombreuses associations l’utilisent depuis des années pour améliorer la vie quotidienne & l’état général des personnes malades et handicapées. Il permet bien souvent de diminuer & parfois de supprimer les prises en charge médicamenteuses, toujours bien entendu, en accord avec le médecin prescripteur.
NeurOptimal permet au cerveau de mieux fonctionner. Il ne guérit pas les maladies, ne modifie pas les pensées, n’efface pas les mémoires traumatiques. Il aide chaque cerveau à atteindre son meilleur, lui offrant « seulement » la possibilité de développer ses potentiels. Il s’adresse donc à l’enfant dyspraxique ou dyslexique, au sportif de haut niveau, à la personne en rémission d’avc, au chef d’entreprise stressé, aux personnes atteintes du syndrome de Gilles de la Tourette ou des jambes sans repos, à celles qui ont peur en avion ou la phobie des araignées, aux artistes qui veulent développer leur créativité, aux timides qui doutent en permanence, à tous les « empêchés » qui ressentent le besoin de s’affirmer, à vous, à moi…